Crédit immobilier : l’assurance emprunteur déléguée jusqu’à 70 % moins chère
Comment obtenir un taux de crédit immobilier moins élevé ? Opter pour une assurance emprunteur déléguée, jusqu’à 70 % moins chère qu’une assurance bancaire est pertinent.
Résultats de l’étude Deloitte qui évalue le niveau de confiance des clients français à l’égard du système bancaire en général, et vis-à-vis de leur banque principale, détails...
Publié le parSelon la dernier étude du cabinet Deloitte sur les Relations entre [a[banques]a] et clients, la confiance dans le système bancaire français en général a été fortement entamée, puisque 43% seulement des clients interrogés déclarent avoir confiance dans le système bancaire, soit 4 clients sur 10.
Et, ce niveau évolue en fonction de la tranche d’âge puisque 56% des 15-24 ans déclare avoir confiance dans le système, contre 38% chez les 50 ans et plus. Par ailleurs, dans d’autres pays le niveau de confiance des clients dans le système bancaire est supérieur au niveau français : Etats-Unis (57%), UK (62%), Belgique (67%).
Sans surprise, le climat de confiance des clients envers leur [a[banque]a] principale est plus élevé avec 57% des clients interrogés qui lui font confiance. Ce niveau de confiance des clients, certes plus élevé, ne se traduit pas pour autant par un réel enthousiasme. L’absence d’empathie reste un point noir pour toutes les [a[banques]a] : seuls 11% des sondés se disent très satisfaits de l’intérêt que leur porte leur [a[banque]a].
« Les récentes campagnes de communication lancées par plusieurs réseaux bancaires révèlent la prise de conscience des banques de détail sur les changements qu’elles doivent poursuivre pour pouvoir reconstruire dans la durée une relation de confiance et de qualité avec leurs clients » indique Daniel Pion, Associé Conseil chez Deloitte.
La satisfaction porte davantage sur les aspects liés à la facilité de l’accès à l’information et sur le professionnalisme des conseillers que sur la tarification ou la nature des produits, encore trop souvent perçus comme compliqués.
Un large consensus (74%) se fait une appréciation « plutôt bonne », des performances des banques
9 % des clients jugent même la prestation « très bonne »
Les jeunes de 15 à 24 ans se disent plus satisfaits (89%) que leurs aînés (80 % des 50 ans et plus)
59 % des français ont à la fois confiance dans leur banque et en sont satisfaits. Le niveau de confiance et le niveau de satisfaction constituent les deux piliers de la fidélité clientèle. Un client satisfait qui a confiance dans sa banque sera plus tenté de ré-acheter les produits et les services de sa propre banque.
L’intention de ré-achat globale est positive puisque seulement 9% de l’échantillon (dont 11% de 15-24 ans) ne se déclarent « probablement pas prêts » à racheter dans leur banque. Par ailleurs, seul 1% des clients sont définitivement résolus à ne plus continuer à consommer les produits/services de leur banque de référence.
Le « bouche-à-oreille » devient, et de très loin, le premier moyen pour un consommateur de se forger une conviction sur un produit, une marque ou une entreprise. L’étude montre que la plupart des banques ont plus de « détracteurs » que de « promoteurs ».
La performance des banques françaises est bien en deçà de celle d’autres banques européennes avec un taux de recommandation spontané (NPS) de – 29 %. Dans certaines des banques de nos pays voisins, ce taux peut dépasser les 30 %.
En conclusion, deux préoccupations ressortent des attentes clients identifiées : pour 37% d’entre eux une prise en compte de l’intérêt du client, et pour 29% le souhait que la banque soit davantage à leur écoute.
Ceci démontre bien le principal souhait des clients : se sentir plus proches et mieux considérés par leur banque.
Pour autant, les clients attendent des évolutions sensibles sur des critères bien précis : en priorité une application tarifaire juste et moins élevée, et une plus grande compréhension en cas d’accident de la vie (problème professionnel ou familial).
Les clients attendent en second lieu un turn-over du personnel d’agence moins important, une diminution du nombre d’erreurs et de traitements erronés et, enfin, que leur banque agisse au mieux de leurs intérêts afin qu’ils soient récompensés de leur fidélité.
« Face à ce bilan mitigé, les solutions envisageables et déjà mises en place par plusieurs établissements financiers consistent à : renforcer le profil des chargés de clientèle, simplifier l’offre de produits et de [a[services bancaires]a], adopter une politique plus transparente au niveau des tarifs, et développer et mettre en place une véritable proposition de valeur ciblée et nettement différenciée pour chaque segment de clientèle identifié », propose Daniel Pion, Associé Conseil chez Deloitte.
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